Le voyage
Ce voyage au Kenya, je ne l’avais pas prévu, pas préparé, c’est la vie qui m’a amené à découvrir ce pays.
Les différents regards que j’ai croisé m’ont beaucoup touché, j’y ai parfois perçu un affront, une curiosité, une méfiance, une douceur, une histoire.
Le Kenya à travers mes yeux, c’est une terre paradoxale : hostile et accueillante à la fois.
Un peu de goudron, beaucoup de terre … qui te colle à la peau même entre tes ongles, c’est un souffle chaud que tu avales, c’est le soleil qui brule puis qui devient rouge au coucher du soleil, de la musique – du bruit – des sons, des rires communicatifs, encore trop de déchets abandonnés malgré une interdiction de sachet plastique dans le pays, des animaux sauvages habitués à la présence de l’homme, des odeurs à te faire vomir ou à te faire saliver.
Ce voyage aura été pour moi une histoire de rapport de force.
Une mise en difficulté physique et émotionnelle, des situations inextricables, quelques dangers, des leçons de vies, des fous rires, et des émerveillements, un voyage riche.
Le Kenya : un lâcher prise sans zone de confort, une force sauvage, la puissance dans le regard.
Les différents regards que j’ai croisé m’ont beaucoup touché, j’y ai parfois perçu un affront, une curiosité, une méfiance, une douceur, une histoire.
Le Kenya à travers mes yeux, c’est une terre paradoxale : hostile et accueillante à la fois.
Un peu de goudron, beaucoup de terre … qui te colle à la peau même entre tes ongles, c’est un souffle chaud que tu avales, c’est le soleil qui brule puis qui devient rouge au coucher du soleil, de la musique – du bruit – des sons, des rires communicatifs, encore trop de déchets abandonnés malgré une interdiction de sachet plastique dans le pays, des animaux sauvages habitués à la présence de l’homme, des odeurs à te faire vomir ou à te faire saliver.
Ce voyage aura été pour moi une histoire de rapport de force.
Une mise en difficulté physique et émotionnelle, des situations inextricables, quelques dangers, des leçons de vies, des fous rires, et des émerveillements, un voyage riche.
Le Kenya : un lâcher prise sans zone de confort, une force sauvage, la puissance dans le regard.
Caroline
Photographe
La collaboration
Je me souviens parfaitement de « ce » soir où j’ai décidé de prendre un temps calme pour lire les photographies de Caroline.
L’une et l’autre, nous avions pris une jolie habitude, celle de se retrouver régulièrement autour d’un café/patisserie. Parce que oui, pour nous, patisserie rime avec café, kawa, sawa. On y vient, nous y voilà. Venez je vous emmène.
Caroline m’explique son séjour au Kenya, ce qu’elle a vu, vécu, ressenti. Et puis il y a les photos.
Et puis il.y a les sujets de ses photos. Et puis il y a les compositions de ses photos. Et puis il y a les couleurs de ses photos, de ses sujets, de ses compositions. Les odeurs, la saveur. La saveur d’un reportage photo qui m’a touché, embarqué, fait voyager depuis mon salon cocon.
Et c’est dans mon salon cocon, où’y suis si bien que je livre à Caroline mon émotion. « Faisons de ce reportage un projet artistique ».
L’une et l’autre, nous avions pris une jolie habitude, celle de se retrouver régulièrement autour d’un café/patisserie. Parce que oui, pour nous, patisserie rime avec café, kawa, sawa. On y vient, nous y voilà. Venez je vous emmène.
Caroline m’explique son séjour au Kenya, ce qu’elle a vu, vécu, ressenti. Et puis il y a les photos.
Et puis il.y a les sujets de ses photos. Et puis il y a les compositions de ses photos. Et puis il y a les couleurs de ses photos, de ses sujets, de ses compositions. Les odeurs, la saveur. La saveur d’un reportage photo qui m’a touché, embarqué, fait voyager depuis mon salon cocon.
Et c’est dans mon salon cocon, où’y suis si bien que je livre à Caroline mon émotion. « Faisons de ce reportage un projet artistique ».
Marie
Illustratrice
La campagne KissKissBankBank
Lorsque nous avons décidé de cette collaboration artistique, l’idée d’une exposition s’est rapidement invitée dans nos esprits.
Nous avons alors imaginé l’exposition, et nous avions une idée précise de comment la présenter.
Nous avons alors budgété chaque poste de coût et le budget s’est révélé supérieur à nos moyens financiers, d’autant plus que l’ensemble des recettes des créations seront reversées à une ONG au Kenya. Notre opération est donc nulle : les fonds servent à monter l’exposition et le vernissage, puis les recettes seront envoyées au Kenya.
Et c’est donc là que l’idée d’engager une campagne de crowdfunding est née. Nous avions besoin d’aide, peu de temps devant nous pour faire connaître le projet mais nous avons décidé de relever le défi !
Une campagne telle que nous l’avons réalisée est un travail de chaque instant : être présentes aussi bien sur les supports digitaux que dans la « vraie » vie ! Aller à la rencontre des commerçants de la rue Taison, réaliser des collaborations avec d’autres entrepreneurs, des évènements externes, communiquer avec la presse etc…
Quelle expérience, quelle énergie, quel challenge mais quelle réussite !
Nous sommes très fières d’avoir atteint notre objectif…que cette exposition puisse exister… que des écolières kenyanes puissent la voir aussi à distance … qui sait cela leur donnera t elle envie de voyager, de photographier, de dessiner, de créer ?
C’est un peu de Metz qui s’envole au Kenya…
Nous avons alors imaginé l’exposition, et nous avions une idée précise de comment la présenter.
Nous avons alors budgété chaque poste de coût et le budget s’est révélé supérieur à nos moyens financiers, d’autant plus que l’ensemble des recettes des créations seront reversées à une ONG au Kenya. Notre opération est donc nulle : les fonds servent à monter l’exposition et le vernissage, puis les recettes seront envoyées au Kenya.
Et c’est donc là que l’idée d’engager une campagne de crowdfunding est née. Nous avions besoin d’aide, peu de temps devant nous pour faire connaître le projet mais nous avons décidé de relever le défi !
Une campagne telle que nous l’avons réalisée est un travail de chaque instant : être présentes aussi bien sur les supports digitaux que dans la « vraie » vie ! Aller à la rencontre des commerçants de la rue Taison, réaliser des collaborations avec d’autres entrepreneurs, des évènements externes, communiquer avec la presse etc…
Quelle expérience, quelle énergie, quel challenge mais quelle réussite !
Nous sommes très fières d’avoir atteint notre objectif…que cette exposition puisse exister… que des écolières kenyanes puissent la voir aussi à distance … qui sait cela leur donnera t elle envie de voyager, de photographier, de dessiner, de créer ?
C’est un peu de Metz qui s’envole au Kenya…
Caroline
Photographe
L’exposition
Exposer ou s’exposer ? De toute évidence exposer, c’est s’exposer.
Nous avons donc pris soin de choisir l’espace, le lieu où il y a et il y aura toujours des rencontres, du passage, des échanges.
Nous visons, l’Atelier chimérique. Rue Taison. Quartier sensible, historique. N’allez pas apposer sur le mot sensible, la dangerosité des lieux, non, nous on vous parle de la sensibilité.
L’Atelier chimérique, elles s’y cachent. Qui ? Les chimères, voyons. Observe, écoute, touche, goûte. Il se peut même qu’en levant les yeux Rue Taison, le dragon, tu verras.
Alors voilà, pour toutes ces raisons poétiques, nous avons souhaité poser nos valises le temps de notre exposition à l’Atelier où l’artiste plasticienne Latifa Bermes s’adonne à la gravure, avec une belle presse, pièce maitresse des lieux. C’est aussi le lieu où elle y expose le travail d’autres artistes.
Revenons à la rue Taison, parce qu’on y tient 🙂 on y tient une bien belle histoire. Celle d’une rue où des générations d’enfants gardent le souvenir d’un lieu vivant, commerçant et gourmand.
Et justement, les enfants chez Sawa Sawa Exhibition est un thème qui nous touche, un sujet central. En effet, nous avons décidé que toutes les recettes des ventes des oeuvres seront reversées à une ONG basée au Kenya, Kenya Kesho School for Girls, à laquelle nous croyons beaucoup.
Nous avons donc pris soin de choisir l’espace, le lieu où il y a et il y aura toujours des rencontres, du passage, des échanges.
Nous visons, l’Atelier chimérique. Rue Taison. Quartier sensible, historique. N’allez pas apposer sur le mot sensible, la dangerosité des lieux, non, nous on vous parle de la sensibilité.
L’Atelier chimérique, elles s’y cachent. Qui ? Les chimères, voyons. Observe, écoute, touche, goûte. Il se peut même qu’en levant les yeux Rue Taison, le dragon, tu verras.
Alors voilà, pour toutes ces raisons poétiques, nous avons souhaité poser nos valises le temps de notre exposition à l’Atelier où l’artiste plasticienne Latifa Bermes s’adonne à la gravure, avec une belle presse, pièce maitresse des lieux. C’est aussi le lieu où elle y expose le travail d’autres artistes.
Revenons à la rue Taison, parce qu’on y tient 🙂 on y tient une bien belle histoire. Celle d’une rue où des générations d’enfants gardent le souvenir d’un lieu vivant, commerçant et gourmand.
Et justement, les enfants chez Sawa Sawa Exhibition est un thème qui nous touche, un sujet central. En effet, nous avons décidé que toutes les recettes des ventes des oeuvres seront reversées à une ONG basée au Kenya, Kenya Kesho School for Girls, à laquelle nous croyons beaucoup.
Marie
Illustratrice